Véritable outil d’aide à la décision au service de la reconversion des friches, la réalisation d’un inventaire des déchets et des ressources dès l’arrêt de l’activité est un outil de pilotage stratégique souvent inexploité.
La parfaite connaissance du métier, des acteurs et des filières de valorisation et de traitement des déchets garantit à ses clients la pertinence des conclusions de CORAVAL.
En effet, Sylvain Touller et Olivier Rajon, directeur général et président fondateur de CORAVAL, possèdent une expertise dans le domaine de la gestion des déchets dangereux et non dangereux acquises au cours d’une expérience professionnelle de 25 ans dans ce domaine d’activité.
Cette parfaite connaissance de ce métier permet à CORAVAL de proposer des inventaires des déchets et des diagnostics ressources sur les friches industrielles, dans une démarche d’économie circulaire, avec :
- Réalisation d’un inventaire détaillé par famille de produits et de déchets avec repérage des déchets concernés sur plan. Pour réaliser cette première étape, une comptabilisation précise est réalisée sur site avec réalisation de prélèvements et analyses en laboratoires agréés.
- Caractérisation de chaque catégorie de déchet avec recherche de filières de proximité pour la réutilisation, la valorisation ou le traitement, en fonction des enjeux techniques, règlementaires et économiques.
- Présentation d’un rapport détaillé intégrant un budget de gestion des ressources et des déchets. Les conclusions et préconisations engagent CORAVAL à la fois sur les aspects quantitatifs que qualitatifs, mais informent également nos clients sur les risques de sur-pollution ou d’incendie liés à l’inaction et sur les surcoûts potentiels associés.
Par exemple, le maintien sur site d’un transformateur électrique contenant du pyralène ou de bidons de produits chimiques liquides hors rétention peuvent avoir des conséquences économiques majeures et mettre en difficulté le bilan économique de requalification d’une friche industrielle. Il n’est pas rare de constater un facteur 10 entre le coût de l’évacuation rapide des déchets « à fort risque polluant » et le coût de la gestion ultérieure de la pollution suite au déversement de ces mêmes produits dans les sols.